26 mars 2003
L'invention de la photographie et ses premiers usages font partie de cette prolifération de nouvelles formes et expressions du réel qui, en multipliant les supports et les symboles, les syntaxes et les plans, ont tout au long du XIXe siècle, forcé les seuils d'intelligibilité. On a compris plus, et on a compris autrement, on a perçu plus et on a perçu autrement. En témoignent ces nouveaux modes de représentation développés tant dans les sciences naturelles ou mathématiques, qu'en musique ou en peinture.
Une des singularités de la photographie est d'avoir participé des deux domaines : celui de l'objectivation du savoir (photographie scientifique, documentaire, photographie médicale, mission du patrimoine etc.) et celui, moins saisissable, de la perception et de son expression.
On se propose de relever quelques échos ou effets de la photographie dans les modalités affectant l'acte de percevoir et sa formulation.
Trois textes articuleront cette hypothèse :
Claude Imbert
M. S.
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